Elisabeth Grosdhomme
Paradigmes et caetera est né en 1998 du goût de sa fondatrice, Elisabeth Grosdhomme, pour l’exploration et l’entrepreneuriat.
Après un début de carrière dans la fonction publique, à l’Inspection générale des finances (1991-1994), au cabinet du Premier ministre (1995) puis à l’INSEE (1996-1998), Elisabeth a pris son indépendance et fondé ce bureau d’études en prospective, stratégie et innovation.
Au fil des années, elle a également été administratrice de plusieurs sociétés, cotées (Société Générale, Safran, Savencia, Ciments Français) et non cotées (SNCF Réseau, ELSAN), ainsi que de deux établissements d’enseignement supérieur : UniLaSalle, école d’ingénieurs dédiée aux sciences de la vie et de la terre (2014-2018), et ENSCI, l’Ecole Nationale Supérieure de Création Industrielle (2012-2014).
Depuis 2018, elle a mis un terme à ces mandats extérieurs pour gérer un fonds d’investissement familial, Paradigmes Ventures, qu’elle a créé avec ses enfants et qui détient à ce jour une entreprise de distribution d’uniformes scolaires et des participations minoritaires dans cinq start-ups (ClearFashion, Aktio, Billiv, Klaro et Carbone Farmers).
Elisabeth est diplômée de l’Ecole Normale Supérieure (1985), de l’Institut d’Études Politiques de Paris (1987) et de l’École Nationale d’Administration (1991). Elle est également agrégée de lettres modernes (1988). Elle a été distinguée Henry Crown Fellow par la Fondation Aspen (États-Unis) et a été nominée aux Trophées de l’INSEAD 2004 pour le Prix de la Pensée Économique et Sociale. Elle est chevalier de l’Ordre national du mérite. Née en 1966, elle est mère de quatre enfants.
Références
Quelques archives
Le service public : do-it-yourself ! | TEDxAix
Que se passe-t-il lorsque la démocratie rencontre le maker movement ? Une diversité d’initiatives de co-production du service public
La démocratie est-elle soluble dans le numérique ? | USI
La manière de s’engager en politique n’est plus forcément par le bulletin de vote. Le numérique érode les voies traditionnelles de la participation politique, mais en crée de nouvelles.
Le progrès, c’est nous ! | Fondapol
Arrêtons d’attendre la réforme des institutions ou l’homme providentiel pour construire notre avenir. Produisons-le nous-mêmes !